• 19/03/2021

    #8mars15h40 à Montélimar - Kiosque du Parc de Montélimar

    Journée, droits des femmes, #8mars15h40, internationale, violences, sexistes, sexuelles

  • « Indispensables mais invisibilisées et sous payées, le 8 mars des premières de corvées »

    Le 8 mars, c’est la journée internationale de lutte pour les droits des femmes. 

    Le 8 mars, ce n’est pas la journée de LA femme, ce n’est pas la Saint Valentin ou la fête des mères, le jour où nous faire des cadeaux ou, exceptionnellement, faire la vaisselle à notre place, le 8 mars, c’est la journée internationale de lutte pour les droits des femmes, le moment de se mobiliser pour gagner enfin l’égalité. 
    Et c’est indispensable parce que l’égalité on en est très loin, notamment au travail : les femmes gagnent, en moyenne, toujours 25 % de salaire en moins.
    Chaque jour, c’est comme si nous arrêtions d’être payées à 15 h 40.
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    MONTELIMAR

    15h40
    Kiosque du Parc

     

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    Premières de corvèes, nous voulons l’égalité maintenant !

     

     

    RASSEMBLEMENT LUNDI
    8 MARS 2021 A 15 H 40


    AU KIOSQUE DU PARC
    DE MONTELIMAR

     

  • Le 8 mars, ce n’est pas la journée de LA femme, ce n’est pas non plus la Saint Valentin ou la fête des mères... C’est la journée internationale de lutte pour les droits des femmes, c’est le moment de se mobiliser pour gagner enfin l’égalité

    Cette lutte est indispensable, car nous sommes encore très loin de l’égalité entre les femmes et les hommes, particulièrement au travail : les femmes gagnent en moyenne, toujours 25 % de salaire en moins ! Chaque jour, c’est comme si les femmes arrêtaient d’être payées à 15 h 40.
     

    Revaloriser les métiers essentiels

    Lorsque pendant le confinement, les applaudissements aux fenêtres saluaient les salarié·e·s en première ligne, il s’agissait très majoritairement de femmes : les infirmières, aides-soignantes, aides à domiciles, caissières, agentes d’entretien, assistantes maternelles ou ouvrières dans l’agroalimentaire... et aussi enseignantes, administratives... Pourtant, les promesses de revalorisation de leur métier ont fondu comme neige au soleil : la majorité des salarié·e·s n’ont même pas vu la couleur des primes Covid !

  • Toujours un salaire d’un quart en moins pour les femmes

    Parce que nous travaillons plus souvent à temps partiel, dans des professions dévalorisées, parce que nous ne franchissons pas les « plafonds de verre », que nous sommes souvent scotchées à un « plancher collant » et que des « parois de verre » nous cantonnent dans peu de professions, nous gagnons toujours un quart en moins. Nous sommes pourtant concentrées dans les métiers qui ont été qualifiés d’essentiels.
    Lorsqu’en mars, il y a un an, nous applaudissions à nos fenêtres les salarié·e·s en première ligne, il s’agissait, très majoritairement, de femmes : les infirmières, aides-soignantes, aides à domiciles, caissières, agentes d’entretien, assistantes maternelles ou ouvrières dans l’agroalimentaire par exemple.

    Premières de corvée dont le travail est indispensable et pourtant invisibilisées, dévalorisées et sous payées !

    Ces inégalités salariales font système : gagner moins, travailler à temps partiel, occuper des emplois dévalorisés… renforce la dépendance des femmes vis-à-vis d’un éventuel conjoint et inversement, parce que les charges domestiques et familiales ne sont pas partagées, les entreprises nous attribuent moins de promotions et nous enferment dans des voies de garage.

    SourceCGT - Deuxième Heure d'information syndicale - Droit des Femmes

  • 8 mars - Grandes gagnantes

    8 mars - Grandes gagnantes

  • Pour mettre fin aux écarts de salaires et de retraites, il faut impérative- ment revaloriser les métiers à prédominance féminine, reconnaître les qualifications, la technicité du travail, les responsabilités et la pénibilité des métiers... et avoir la volonté politique d’appliquer « simplement » la loi qui prévoit un salaire égal pour un travail de valeur égale !

    Temps partiels/précarité :
    ce n’est pas aux salarié·e·s de payer la crise !

    80 % des salarié·e·s à temps partiel sont des femmes, avec des salaires souvent en dessous du seuil de pauvreté et une flexibilité maximum (travail le soir, le dimanche, horaires variables, amplitudes horaires énormes...). un droit automatique au passage à temps plein.

  • Il faut instaurer :

     

    • un droit automatique au passage à temps plein.
    • une sur-cotisation patronale retraite sur les emplois à temps partiel.
    • une majoration de toutes les heures complémentaires à 25 % et 50 %
    • une rémunération des temps de trajet entre deux emplois.
       
    « Partout dans le monde, les femmes se mobilisent et de plus en plus d’hommes refusent d’être enfermés dans des rôles stéréotypés et aspirent à sortir des rapports de domination capitaliste.

    Le 8 mars, syndicats et associations féministes appellent à une grève féministe pour exiger l’égalité, au travail comme dans la vie. »
  • Tract UL Montélimar - #8mars15h40 au Kiosque de Montélimar

    Tract UL Montélimar - #8mars15h40 au Kiosque de Montélimar


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