• 31/08/2021

    Covid-19 et vaccination

    Covid-19, Vaccination, Sras-cov, non-consentement

  • L'annonce de l'obligation vaccinale tombe le 12 juilet 2021…

    Date à laquelle le Président de la République fait son Nième annonce relative à l’évolution de la COVID-19.

    Entre sa première allocution, le 12 mars 2020, qui annonçait l’arrivée du virus touchant gravement tout particulièrement les personnes âgées ou affectées par des maladies chroniques dixit : diabète, obésité, cancer.

    « La guerre » est le mot qu’il a énoncé pour dessiner la période qui se profilait alors devant nous, et il promettait des moyens qu’il déploierait pour les soignants, « coûte que coûte »… les soignants dont la nation avait tant besoin pour aller au front, étaient alors adulés, chéris, présentés déjà comme des « Héros » prêts à toute les mobilisations pour ce faire.Depuis, bien d’autres allocutions ont eu lieu… et les moyens donnés ne le furent que temporairement : les confinements et couvre-feux étant la stratégie privilégiée pour palier selon lui et ses « spécialistes et scientifiques » à l’engorgement des services des Urgences et Réanimations de France, dotés de moyens bien ridicules faisant l’objet de réclamations à ce sujet, depuis bien longtemps maintenant.
     

     

  • 2020 : Pénurie de moyens humains et matériels…

    Soyons réalistes : 12 lits de réanimation pour la Drôme Sud et 12 lits pour la réanimation Drôme Nord, ne font jamais que 24 lits de réanimation pour un département dont la population fait 514 732 habitants dénombrés au 1er janvier 2021.

    Quand bien même l’extension soit passée temporairement à 20 lits pour le Sud comme pour le Nord… (soient 8 lits supplémentaires pour chaque secteur), sont-ce là de vrais moyens donnés ?… non ils ne sont que temporaires et le mot d’ordre reste d’être, pour l’hôpital public, rentable… reprendre l’activité cotée qui rapporte (T2A) est la priorité de ces politiques gouvernementales qui étouffent l’activité du soin en la marchandant toujours plus. C’est ainsi qu’en ne donnant pas de vrais moyens supplémentaires en augmentant significativement les effectifs des services et en donnant les moyens d’investir dans le matériel, doucement mais sûrement, ils concours minutieusement à la destruction du Service Public qu’est l’Hôpital, visant à sa privatisation.

    La Santé et ESSENTIELLE et le soin est un bien commun. Comment peuvent-ils penser cela en terme de marchandisation ?!

    Le Capitalisme et sa libéralisation sont en train de détruire nos biens communs et la gestion de la crise Covid-19 a été tellement mal menée, allant à l’encontre souvent du bon sens… c’est à n’y rien comprendre d’un point de vue sanitaire… mais cela éclaire la lanterne à repenser leurs choix, lorsque la priorité est donnée aux Capital et à la rentabilité de la crise… pas pour tous… mais pour les plus gros (GAFAM, et gros groupes qui ont engrangés encore plus de dividendes que jamais, malgré la crise). 

    L’année 2020 a été très éprouvante, car il a fallu donner beaucoup en terme d’énergie et de volonté, laissant de côté nos vies personnelles. Moins de temps pour se restaurer, pour se ressourcer, sans plus de moyens pour souffler et chasser de nos esprits la lourdeur du quotidien.


    Janvier 2021, les « Héros sont fatigués »…

    Nous n’en pouvons plus de leurs directives aux moyens inexistants — la fermeture de lits s’est bel est bien poursuivit en France pendant la crise Covid-19 — et aucune reconnaissance pour les Héros… hier applaudis… aujourd’hui quasi maudits… pour ceux qui veulent prendre le temps d’avoir un recul sur cette expérimentation vaccinale. Car disons-le nous n’en sommes qu’à la phase III expérimentale de ce qui ne peut encore être appelé « vaccin ».
     

  • Association BonSens

  • Aucun véritable vaccin ne peut être inoculé sans le consentement du sujet. 

    C’est l’objet du courrier envoyé en recommandé et mail, par l’Association BonSens.org, aux sénateurs et les députés, afin qu’ils ne puissent jamais se cacher derrière leur petit doigt, le jour venu de devoir rendre des comptes sur la stratégie sanitaire dictatoriale mise en place par ce gouvernement.
    La teneur de ce courrier est relayé par France Soir le 16/07/21, dans sa publication intitulée : L'association BonSens avertit les parlementaires sur les conséquences d'un vote en faveur de l'obligation vaccinale et du passe.
    Or, l’odieux chantage annoncé par Macron le 12/07/21 s’adressant aux soignants qui ont fait le choix d’attendre pour avoir le recul  nécessaire sur ce produit inoculé ou, qui choisissent d’attendre l’arrivée du « vaccin » Sanofi promis pour décembre, est INACCEPTABLE et vient dévoiler à quel point cette stratégie sanitaire est bel et bien dictatoriale.

  • Big pharma. Parfum d’évasion fiscale dans l’ARN messager

  • De fait, une question se pose : qui en tire.nt les ficelles ?

    BigPharma qui ont des contrats pour écouler leurs doses ?
    Les doses achetées vont-elles être périmées à perte ?
    Y a-t-il autre chose qui motive ce qui se profile désormais tel un impératif absolu, nous soumettant à cette expérience ?
    Quelle est cette volonté de vouloir « vacciner » la population à tout prix ?…
    Cette question est légitime, lorsqu’aujourd’hui, de plus en plus de scientifiques dénoncent l’impertinence de cette stratégie vaccinale, puisque celle-ci non seulement n’enraye pas l’avancée du virus, pire, elle entrave notre système immunitaire d’y répondre au mieux, puisqu’il ne parvient plus à s’en défendre face aux multiples variants.

    Certains lancent l’alerte sur le fait qu’à ce jour, il serait possible, voire probable, que l’inoculation de ce « vaccin » mette à mal la fonctionnalité de notre système immunitaire innée. Trop peu de recul pour en tirer les vraies conclusions.

  •  

    Vaccin : nom masculin

    • 1. Substance pathogène qui, inoculée à un individu, lui confère l'immunité contre une maladie.
      Sérum et vaccin.
    • 2. Vaccination.
      Faire un vaccin à qqn.

    Source : dictionnaire le Robert 

  • Cela peut porter aujourd’hui à la polémique, cependant, un produit à ce jour inoculé alors qu’il n’est qu’en phase III, ne peut être considéré tel un « vaccin » et peut légitimement soulever toute la défiance de ceux qui souhaitent avoir une analyse de recul quant aux effets à court, moyen et long terme.

    Il ne s’agit pas de discriminer « les vaccinés » et « les non-vaccinés ». Il s’agit de laisser le choix quant il s’agit d’accepter l’inoculation d’une substance dans notre corps. Il s'agit de notre liberté quant à notre corps.

    Martin Hirsch, directeur de l’AP-HP, annonce sans vergogne le 13 juillet sur France Inter : « La vaccination obligatoire des soignants fait partie de la panoplie professionnelle ». ?!
    Libre à chacun de consulter la définition de « panoplie ». De toutes les descriptions, ce qui compose la panoplie, toujours peut se retirer… une inoculation est irréversible !

    Comment peut-on minimiser à ce point les conséquences encore méconnues de l’injection un tel produit sans recul et présenter cela comme un accessoire de panoplie ?!!
     

    Panoplie : nom féminin

    • 1. Ensemble d'armes présenté sur un panneau et servant de trophée.
    • 2. Jouet d'enfant comprenant un déguisement et des accessoires présentés sur un carton.

    Source : dictionnaire le Robert 

  • Les soignants ont fait face au pire, avec les moyens du bord !…

    1ère vague : pénurie de matériels de protection (masques, gants, sur-blouses, charlottes…), de matériels de soin tels les respirateurs, médicaments (l’hydroxychloroquine aussi récriée soit-elle par les « experts scientifiques » du gouvernement, était quand même bienvenue dans le soin précoce de la Covid-19, c’est ce que dénoncent les associations de médecins de ville qui accusent le gouvernement de ne pas les avoir laissé soigner les gens présentant les prémisses de symptôme, ceux-là étant invités à rester chez eux et à appeler le 15 si cela s’aggravait !).

    Un regard en arrière sur 2020 jusqu’à ce jour, montre à quel point cet épisode Covid-19 est aussi, peut-être même surtout, une affaire de profits… pour le dire autrement, la gestion de cette crise a été pensée en terme de rendement… comment en tirer profit a été la devise en toile de fond.

  • Un couvercle sur les grognes sociales…

    Cela a permis au gouvernement de mettre un couvercle sur toutes les grognes sociales (luttes des gilets jaunes, lutte contre la retraites à points — la crise est venue démontrer qu’en 1 année, la chute de -14% du PIB aurait eu une incidence terrible sur les retraites si elles avaient déjà était effectivement basées sur le PIB comme cela avait été prévu dans leur réforme — dont le 49.3 a été mis en place en même temps que le 1er confinement, perte des libertés les plus élémentaires, notamment celle de respirer (dans tous les sens du terme).

    Rappelons aussi que lors du second confinement en octobre 2020, bon nombre de personnels qui eurent contracté le virus et testé Covid+, ont été majoritairement priés d'aller travailler quand même… les effectifs étant tellement à flux tendus… cette écatombe de soignants / administratifs / techniciens aussi, de l'administration hospitalière, n'a ému personne !… Il semblerait que cette abération de travailler en milieu du soin tout en étant contaminé, ne dérangeait quasi personne !

    Tout cela a été l’occasion pour ce gouvernement de faire passer en mode accéléré, le télétravail, mal encadré, mal doté, isolant les salariés, se retrouvant souvent devant les impératifs des coachs, sans plus d’autres liens sociaux, cela a aussi accéléré le monde du numérique… la venue de la 5G n’est sans doute pas anodine à tout ce remaniement, où le tout numérique va primer sur nos vies.

     

  • Le pass sanitaire : l'instauration d'une ségrégation…

    Dans la publication de la CNIL du 09 juin 2021, intitulée Pass sanitaire : la Cnil liste tout ce qui ne va pas dans TousAntiCovid-Vérif, l'auteur Julien Lausson écrit :
    « En effet, la minimisation des données contenues dans le pass sanitaire est effectuée non pas au niveau du code QR, mais de l’application officielle TousAntiCovid-Vérif. Celle-ci affiche uniquement l’identité de la personne et indique si le pass est valide ou non, sans dire s’il s’agit d’un pass obtenu grâce à la vaccination (et le cas échéant, lequel), la guérison ou bien un test.

    Le problème, c’est que cette minimisation n’est pas possible avec une autre application capable de lire ce genre de code. Dans cette situation, toutes les informations arrivent à l’écran (prénom, nom, date de naissance, test, nombre de doses, vaccin, date de l’injection, etc.). En outre, ce que fait l’application ensuite avec ces éléments est un mystère. Le risque d’un usage malintentionné demeure donc. »


    La CNIL vient de déroger à ce qui était pourtant sa fonction d’être la gardienne et garante de l’usage des données numériques. Elle avait autorisé la transmission des données aux médecins traitants ; cependant #TousAntiCovid recueille des données qui, si elles devraient être temporaires, sont néanmoins stockées et donc susceptibles d'être détournées à un usage malatentionné.

    Source : Pass sanitaire : la CNIL liste tout ce qui ne va pas dans TousAntiCovid-Vérif

    Est-ce que cela ne déroge pas à la confidentialité médicale ?
    Le gouvernement est-il devenu dictature médicale ?

    Autant de questions qui viennent interroger…
    • la pertinence du tout numérique… dans quel but réel ?…
    • la pertinence du tous vaccinés (avec un prototype à l’essai)…  
    • la pertinence d’un Etat d’urgence décrété quoiqu’il en soit jusqu’en décembre 2021… ?
  • Trop glauque pour s’y fier les yeux fermés.

    Légitimement, n’importe qui, soignants y compris, a le droit de rester précautionneux quant à toutes ces mesures prises trop souvent sans discernement et sans véritable éclairage quant au bien-fondé de ce qui nous est imposé. L’idée n’est pas de diviser le peuple en 2 camps… « les vaccinés » et « les non-vaccinés »… alors même que nous ne pouvons parler de « vaccins ».
    Ce qui est sûr est que nous ne sommes pas des cobayes, que notre corps nous appartient et qu’en aucun cas nous avons à céder devant un chantage à visée de nous extirper notre consentement.

     

  • Á ce sujet, Me Divizio fait un appel à qui veut bien l'enjoindre pour porter plainte contre le gouvernement selon l'article 312.1 du code pénal qui signifie :


    « L'extorsion est le fait d'obtenir par violence, menace de violences ou contrainte soit une signature, un engagement ou une renonciation,
    soit la révélation d'un secret, soit la remise de fonds, de valeurs ou d'un bien quelconque.

    L'extorsion est punie de
    sept ans d'emprisonnement et
    de 100 000 euros d'amende. »

    Il invite tous les soignants qui souhaitent ne pas se faire vacciner sous contrainte à le contacter et se porter partie civile individuellement : voir la proposition dans le lien ci-dessus, (notamment à 29:45)

    Action collective contre l'obligation vaccinale : disponible ici

  • Respect de notre intégrité physique et psychique :
    nul n’a autorité pour nous imposer pareilles mesures.

    Á ce jour d’ailleurs, les mesures annoncées sont anti-constitutionnelles et le code du travail ne permet pas la mise en œuvre de telles menaces.

    Dans toute cette rétrospective, nous y voyons d’abord un moyens de soumettre une population à des impératifs dictatoriaux, qui depuis plus d’1 an, visent à réduire par tous les moyens, nos libertés les plus élémentaires. 

    Des plaintes sont actuellement déposées contre le gouvernement, venant de divers horizons (citoyens, médicaux…) et à ce jour, c’est bel et bien la LIBERTÉ qui est avant tout bafouée avec la mise en place de mesures d’assujettissement et d’asservissement. 
    Nous savons tous que diviser pour mieux régner est une devise largement partagée par les dirigeants.
    Nous savons tous, si nous n’oublions pas l’Histoire, où ce genre de directives discriminatoires peut mener.

    Et ce, d’autant plus lorsqu’on garde en tête le projet de Busyn intitulé la réforme « ma santé 2022 » qui confirme l’idée de faire évoluer notre médecine orientée jusqu’alors sur le curatif collectif vers une médecine individualisée appelée médecine 4 P.
    4P est la traduction de : Médecine Personnalisée, Participative, Prédictive et Préventive. Ce nouveau concept prend sa source grâce à la massivité et à la disponibilité de données médicales, scientifiques et personnelles : le E-dossier et aux progrès des recherches sur la génétique.

    Un article de la CGT daté du 11 mars 2019 intitulé De la médecine collective solidaire à la médecine prédictive, individualisée ou individualisteévoquait déjà les dérives possibles à l’œuvre aujourd’hui.
    Ce projet de réforme a été élaboré et tombe comme une continuité prédite à ce qui est arrivé depuis !

    Jusqu’où accepterons-nous ces façons de faire ?

    La CGT-GHPP n’est pas pro ou contre se faire vacciner, mais pour la liberté d’un choix libre et éclairé.
  • N.B. : Petite information relevée sur le Fb Les blouses blanches en colère :

    « Point juridique sur lequel maître Jean-Yves Dupriez avocat au barreau de Valence a travaillé, il en ressort que la vaccination ne peut être obligatoire pour des vaccins dont l'efficacité et les effets secondaires sont en cours d'évaluation, c'est tout simplement illégal : pourquoi l'obligation vaccinale pourrait être illégale : 
    Chacun a entendu les représentants de l'Etat expliquer tour à tour qu'il n'y a rien d'exceptionnel à l'obligation vaccinale qui est l'unique moyen de mettre un terme à la pandémie. - faux 
    Voici le principe : En vertu de l'inviolabilité du corps humain, les essais médicaux sur des volontaires en bonne santé sont autorisés sous réserve d'un consentement libre, éclairé et exprès.
    En droit européen : la directive 2001/20/CE du 4 avril 2001 art 3, d'application directe en France prévoit un consentement éclairé et la CEDH a eu l'occasion de rappeler ce principe à plusieurs reprises. 
    En droit interne : Art 1122-1-1 code de la santé publique : aucune recherche impliquant la personne humaine ne peut-être pratiquée "sans son consentement libre et éclairé recueilli par écrit, après que lui a été délivrée l'information prévue". Ladite information porte notamment sur les risques prévisibles. 
    Alors quelle différence entre les vaccins covid et les 11 vaccins déjà obligatoires en France ? 

    La réponse est simple : 
    Pour que l'Etat soit autorisé à se passer du consentement libre et éclairé des personnes qui reçoivent le vaccin, il doit disposer des éléments scientifiques permettant d'établir d'une part l'efficacité du vaccin et d'autre part l'identification des risques encourus. Dans de telles circonstances, il peut même être retenu que l'obligation reste légale "lorsqu'un petit nombre de décès survient dans le cadre d'un programme de vaccination dont le seul but est de protéger la santé de la société en éliminant les maladies infectieuses". 
    En quelque sorte, le Gouvernement qui prive l'individu de l'expression d'un consentement libre et éclairé doit lui même disposer de toutes les informations nécessaires. C'est en principe le cas pour les 11 vaccins actuellement obligatoires. 
    Or les conditions nécessaires à l'obligation vaccinale ne peuvent être réunies quant il s'agit d'un vaccin expérimental ! 
    Dans un article RDLF n°2021 chronique 20, le Professeur Philippe SEGUR, démontre que les vaccins Moderna, Pfizer, BioNTech et Astrazénéra revêtent bien les caractéristiques de vaccins expérimentaux. 
    Pour preuve, il rappelle que leurs autorisations de mise sur le marché sont conditionnées à la fourniture par les laboratoires des résultats de "l'essai principal qui se poursuit pendant 2 ans". 

    Les rapports finaux sont donc attendus : 
       • pour Pfizer en décembre 2022
       • pour Moderna : en janvier 2023
       • pour Astrazeneca : mai 2022
       • pour Johnson&Johnson : 31 décembre 2023

    Qui dit essai dit expérimentation ; qui dit expérimentation dit nécessité d'obtenir de l'individu un consentement libre et interdiction pour le Gouvernement d'imposer l'obligation vaccinale, ne serait-ce que sur le fondement de l'article 1122-1-1 ou de la CESDH.

    Nous sommes à l'heure des annonces, mais il faut s'attendre à ce que les textes à paraitre soient scrutés de prêt et à l'apparition d'un contentieux juridictionnel massif, d'abord à l'occasion de l'obligation imposée au personnel soignant, puis du reste de la population. »

     

     

  • Soigner encore (cover Danser encore-HK) Feat Alee, Corinne Masiero, soignants CHU Rennes et Nice


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