• 21/02/2022

    Injections forcées - Dose 3

    Vaccination forcée, injonction "vaccinale", 3ème dose

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    Au sein de notre établissement, des agents reçoivent des mails répétitifs pour les inciter à la 3ème dose sous prétexte de se « mettre en conformité » quant aux délais (entre 2 injections) modifiés au 14 février 2022 selon les recommandations de l'HAS, alors même que seuls 2 décrets existent concernant l'obligation vaccinale :

    Prendrait-on des mesures sur simple recommandation…
    … sans décret ?… de surcroît rétroactivement ?…

    Ne pas confondre les mesures concernant
    le pass vaccinal avec celles de l'obligation vaccinale !!!

     

  • Les injonctions à la "vaccination" ne cessent de se multiplier et les délais entre chaque injection ne cessent de se raccourcir !…
    Démonstration est faite que ces injections ne font pas office de "vaccin".
    De fait, une loi qui incrémente une "obligation vaccinale" pour une susbstance en phase 3 d'essai clinique, est une loi inique qui bafoue les droit des agents. Il s'agit bien d'une extorsion de consentement à coups de chantage, pression menée sur le droit au travail et au salaire.

    Des agents en nombre ont préféré être suspendus plutôt que contraints à ce consentement.

    Á ce jour, tout, dans le discours gouvernemental vient démontrer à quel point l'affaire est moins sanitaire que politique et surtout économique !… le business de bigpharma se fait valoir à coups de pression via un état d'urgence qui n'a plus rien de sanitaire depuis longtemps,… tout au plus il sert de prétexte à un état d'exception maintenu artificiellement pour ses effets liberticides.

     

  • Sachez que le rapport de force est possible pour dire NON… c'est la démonstration qu'ont fait les agents hospitaliers de Guadeloupe et Martinique… parce qu'ils ont dit NON !…

     Les agents en Martinique face à leur direction

    Sachez que la solidarité existe pour les suspendus, mais aussi pour les agents qui ont été vaccinés sous contrainte. 

    Un QUESTIONNAIRE lancé par la CGT-GHPP montre que majoritairement les injections ont été faites par contrainte. 

    Se faire "vacciner" doit rester un CHOIX dans tous les cas et d'autant plus lorsqu'il s'agit d'un produit en phase expérimentale.

    Le consentement libre et éclairé - Article R4312-14 du Code de la Santé Publique

     

  • Des flyers ont été distribués en nombre sur le GHPP pour participer à ce QUESTIONNAIRE.
    Si vous ne l'avez pas reçu, demandez-le… votre participation est TOTALEMENT ANONYME.

    Mais il est important que vous puissiez participer
    pour faire état de vos avis.

  • Si vous n'avez pas eu accès à ce questionnaire, demandez-le auprès de la CGT-GHPP.

    Vous trouverez également le lien d'accès au formulaire en ligne… dans le panneau d'affichage informations syndicales qui se trouve dans le couloir menant aux vestiaires.

    Nous avons choisi de ne pas mettre le lien en ligne sur ce présent site, afin de permettre aux agents du GHPP d'y répondre et de tenir compte de leur avis.

     

  • Cliquez sur les images pour accéder
    aux documents de présentation…

  • Aussi, sachez que pour les suspendus, des recours ont lieu, mais qu'il y a aussi la possibilité de recours pour les agents qui ont dû donner leur consentement par contrainte… 

    Nous vous mettons le lien ci-après, pour participer à la seconde vague de plaintes portées à la CEDH (commission européenne des Droits de l'Homme.

     

    En septembre 2021, le Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens (CSAPE) et Guy Froment responsable juridique national des pompiers, ont saisi la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) pour le compte de 268 soignants considérant que la loi du 5 août 2021 dite loi de l’« obligation vaccinale des soignants » constitue une violation caractérisée de leurs droits fondamentaux exprimés dans la Convention de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales.

    Ces 268 requêtes ont été acceptées par la CEDH et sont aujourd’hui en instruction.

     

  • Le Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens (CSAPE) va lancer une nouvelle vague de dépôts de plaintes à la CEDH contre la France

  • L’objectif de saisir la Cour européenne des droits de l’homme est notamment d’obtenir réparation si la cour reconnaît que la France s’est rendu coupable de violation des droits fondamentaux des plaignants en les obligeant notamment à se faire injecter les substances géniques en essais cliniques pour pouvoir continuer à exercer leur activité professionnelle.

    Si la violation des droits fondamentaux est reconnue par la CEDH, les soignants pourront formuler des demandes d’indemnités évaluées sur les pertes ou les atteintes estimées, de mise sous astreinte de la France, de condamnations pénales des responsables etc ..

    Etant donné l’acceptation à l’instruction des 268 premières requêtes, le Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens (CSAPE) a pris la décision de proposer aux soignants n’ayant pas participé aux premières requêtes, de les accompagner dans une deuxième vague de plaintes à la CEDH contre la France.

  • La convention européenne des Droits de l'Homme - site bonsens.info

  • Présentation de la CDEH - site bonsens.info


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